posté le 04-02-2012 à 12:23:55

Les crêpes bretonnes

 

La crêpe bretonne dite aussi crêpe de blé noir, ou galette, est une spécialité régionale de Bretagne.

En breton, on n'utilise pas le mot « galette » et le même terme (krampouezhenn) désigne une crêpe sucrée ou une crêpe salée.

Ainsi dans l'ouest de la Bretagne notamment dans le Finistère une partie du Morbihan et des Côtes-d'Armor, le mot galette ne désigne pas une crêpe salée mais plutôt une pâte épaisse (exemple de la galette de pommes) ou un biscuit beurré.

Il y a trente ou quarante ans, en pays d'Aven on distinguait les krampouezh gwinizh du, crêpes de blé noir, salées, et les krampouezh dous, crêpes (douces) de froment, sucrées.

Le mot galette est venu de Haute-Bretagne dans les années soixante-dix et a tout de suite servi à définir la crêpe de blé noir.

À cette époque en Basse-Bretagne la galette était un plat à soi tout seul, pas de garniture mais on les commandait et on les servait par couple.
Depuis les années 1950, la galette est devenue la base d'un plat principal.

Elle est confectionnée en partie à partir de farine de sarrasin ; la pâte est étalée en disque sur une crêpière chaude (une poêle plate ou un appareil spécifique appelé bilig en breton, galetière en Haute-Bretagne, ou encore galettoire ou tuile) à l'aide d'une rozell, rouable ou raclette (sorte de petit râteau).
La production locale de sarrasin ne permettant pas d'approvisionner les quelques 8 000 tonnes consommées annuellement en France, la confection des galettes de blé noir fait largement appel à des produits d'importation provenant de Chine, de Pologne et du Canada.

Galettes-saucisse
La galette est fréquemment garnie de saucisse, viande, poisson, fromage, salade, etc.

Une des garnitures les plus courantes est faite d'emmental râpé, d'une tranche de jambon et d'un œuf, cuits directement sur la galette.

On parle alors de galette « complète ».

La galette est mangée à table ; cependant, de plus en plus souvent dans les manifestations publiques (festoù-noz, kermesses, foires, pardons etc.), des vendeurs ambulants proposent la galette saucisse (une saucisse fraîchement grillée enroulée dans une galette froide) que l'on mange debout à la manière d'un hot-dog.
Quelques classiques :

Ce produit est aussi connu sous le nom de Gavottes, marque de crêpes dentelle née à Quimper en 1920, dans le quartier de Locmaria.

Mais l'usine s'est installée à Dinan.


Les gavottes font partie des ces grandes erreurs culinaires… Un oubli sur un bilig (tôle où l'on fait cuire crêpes et galettes). Elle a trop fait cuire sa crêpe. Elle décide alors de la plier : la gavotte est née.

 

Wikipédia

 

                             

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Commentaires

 

1. framboise24  le 06-02-2012 à 08:34:12  (site)


bonjour ma douce amie
oui je l'aime la bretagne
bon debut de semaine
gros bisous

 
 
 
posté le 03-02-2012 à 17:57:32

LA DEVISE DES BRETONS

 
LA DEVISE DES BRETONS
 

Voyez près d'une mer sauvage
Nos grands chênes aux larges fronts,
Dont le temps, le fer, ni l'orage
N'ont pu déraciner les troncs.
Voyez, pourvu qu'elle chemine
En des sentiers choisis et purs,
Sur nos coteaux la blanche hermine
S'exposer à des périls sûrs.
Le chêne, où s'émousse la hache,
C'est l'homme indépendant et fort ;
L'hermine est la beauté sans tache
Et fidèle jusqu'à la mort.
C'est là le pays de Bretagne,
Où l'on fila jadis le lin,
Au fond de la moindre campagne,
Pour la rançon de Du Guesclin".
C'est le pays de l'Espérance,
De la Foi, de la Charité ;
C'est un diamant de la France
Dans un dur granit incrusté.
Amis, qu'aucun joug ne vous dompte;
Dignes du sang d'où nous sortons
Préférons la mort à la honte,
C'est la devise des Bretons.

 


 
 
posté le 03-02-2012 à 17:37:14

Les bretons et la mort.

 

Le concept de la mort est très présent dans les légendes bretonnes comme autrefois dans le quotidien des bretons pour qui mourir signifiait s'en aller vers une vie meilleure.

C'est avec le christianisme qui,soucieux de détourner la population des anciennes croyances païennes, instaure la crainte de la mort en satanisant certains mythes.

C'est ainsi que serait née la légendede l'Ankou (ouvrier de la mort : oberour ar maro) et que les fées des fontaines seraient devenues les Lavandières de la nuit (Kannerezed noz).

Les lavandière de la nuit :

Les lavandières de la nuit (ou de la mort) sont des âmes damnées qui hantent les campagnes. Tout au long de la nuit elles travaillent à laver, essorer et faire sécher des suaires dans l'attente d'être libérées.

On dit qu'elles sollicitent l'aide de ceux qui croisent leur chemin afin d'essorer les suaires. Point alors de merci pour qui à l'instar de Wilhem Postik se laisse distraire par le spectacle des jeunes femmes, oublie les recommendations des sages et ne tourne pas le linceul dans le même sens que la lavandière : celui-ci s'enroule et se resserre autour du corps du malheureux, le vidant de tout son sang.

L'Ankou (voir photo) :

L' Ankou, est la mort personnifiée.

Il est représenté sous la forme d'un homme grand et maigre aux cheveux longs et blancs ou d'un squelette.

Vêtu de noir ou d'un linceul, il porte un feutre noir à larges bords sous lequel brillent deux chandelles en guise d'yeux.

Il arbore également une faux à tranchant en dehors qu'il lance en avant pour frapper ses victimes et qu'il aiguise avec un os humain.

Debout sur sa charrette à deux chevaux dont le grincement des essieux est le pire des présages, il sillonne les campagnes en faisant pivoter sa tête à sa guise autour de sa colonne vertébrale.

Ainsi, rien ne lui échappe et malheur à qui se trouve sur la route du funeste convoi !

En effet, dans certaines légendes l'Ankou tue sans faucher réellement, le simple fait de l'approcher, de l'entendre passer ou à plus forte raison d'échanger des paroles avec lui suffisent à causer la mort de la personne en question ou de l'un de ses proches.

C'est le triste sort de Fanch ar Floc'h, ce talentueux forgeron qui absorbé par son ouvrage travailla le soir de Noël jusqu'après l'heure sainte de minuit à qui l'Ankou rendit alors visite pour faire réparer sa faux.

L'homme accomplit cette tâche sans se douter de l'identité de son hôte et mourut à l'aurore.

Une légende raconte également comment un jeune homme trop curieux, ayant reconnu le célèbre grincement des essieux de la charrette de l'Ankou, décida de l'observer sans se faire voir en se cachant dans une touffe de noisettes.

Le convoi s'arrêta soudain et l'un des compagnons de l'Ankou s'approcha de la cachette afin de couper de quoi remplacer la cheville brisée de l'un des essieux. Se croyant tout d'abord perdu le jeune homme fut vite soulagé de voir l'Ankou s'éloigner sans remarquer sa présence... le lendemain on l'enterrait.

L'Ankou est effectivement accompagné de deux hommes qui l'aident dans sa mission, l'un tient la bride du cheval de devant, l'autre ouvre les barrières pour faciliter son passage et dispose sur la charrette les cadavres de victimes fauchées.

Des pierres lestent la charrette afin de la faire grincer et que l'on l'entende ainsi venir, lorsqu'un malheureux est fauché, quelques pierres sont déchargées.

Pour cette raison, on dit que lors de veillées mortuaires on entend parfois un bruit de caillasse ; c'est l'âme du défunt qui remplace une partie du lest sur la charrette de l'Ankou.

On dit que pour chaque paroisse, le dernier mort de l'année devient l'Ankou de l'année suivante.

Le jour, il est également présent à travers les sculptures à son effigie qui ornent les ossuaires, ainsi il rappelle toujours aux hommes la fin à laquelle aucun ne peut se soustraire.

Et ces mots gravés sur la pierre de nous mettre en garde "La mort, le jugement, l'enfer froid : quand l'homme y pense, il doit trembler".

 

 


Commentaires

 

1. Figue  le 23-02-2012 à 00:09:39  (site)

J'aime ce genre d'histoire

mais si c'est vraiment réel

plus personne dans ce village

ou dans cette ville

je connaissait pas cette histoire

merci Yoomie

bisous

 
 
 
posté le 03-02-2012 à 17:08:06

tri yann

 

 

La ville que j'ai tant aimé

 

 

 

 Whisky Whisky

 

 

 

Maluron Lurette

 

 
 

Si mort à Mors

 

 

 

Franzozig

 

 

 

 

 

 

 

 

 


Commentaires

 

1. trucs-astuces-de-comete59  le 03-02-2012 à 21:42:03  (site)

bonsoir, je suis deja allée en bretagne une fois ,que c'était joli!!
j'aime beaucoup les musiques celtiques,j'ai meme quelques CD à la maison
bonne continuation

2. framboise24  le 07-02-2012 à 09:13:25  (site)


c'est vrai que les musiques celtiques sont tres belles
a ecouter sans moderation
bravo ma douce tu fait un travail magnifique
bonne journee a toi
gros bisous

 
 
 
posté le 02-02-2012 à 13:45:31

Le cidre Breton

 

Même si l'existence des pommiers remonte à l'antiquité, c'est au 13° siècle que l'apparition de la presse permet le développement du cidre en Bretagne ("chistr" en breton), qui deviendra la principale boisson de table.

Au siècle dernier, la Bretagne produisait à elle seule trois fois plus de cidre que toutes les autres régions confondues ! 

Au milieu du 20° siècle, le cidre devient la seconde boisson nationale avec 20 millions d'hectolitres (le vin représentant 50 millions).

 

Le cidre fait maintenant partie intégrante de la culture et de la mémoire collective des bretons.

A chaque terroir correspond une variété de pommes et donc une typicité du cidre.

la Bretagne, en particulier l’AOC boisson aux pommes de Cornouaille (depuis le 19 mars 1966) et le Label rouge "Royal Guillevic".

 

Les français consomment en moyenne 2 litres de cidre par an. Les bretons 5 fois plus !

 

 

Pendant les foires de Quimper, Saint-Brieuc, Vannes, Redon ou Rennes, le nombre d'animaux abandonnés par des paysans éméchés ne cesse de croître. On ne compte plus les petites annonces parues dans la presse locale où tel ou tel propriétaire ayant dessoulé, s'inquiète de savoir ce que sont devenus ses deux cochons ou sa vache noiraude.

Les gendarmes confirment que les animaux errants se multiplient à chaque foire et qu'ils doivent réveiller leurs maîtres dormant, ivres, dans les fossés.

Le rapport cite aussi les témoignages des cafetiers qui se félicitent que, pendant les offices du dimanche, leurs affaires marchent à plein régime.

Les sorties latérales des églises sont très empruntées pendant le sermon, toujours dans le sens de la sortie, par la population masculine.

 Les buveurs passent par des états successifs allant de la "lancette", puis la "zigzaguette" pour s'achever par la "tombette".

Le document du ministère conclut sobrement : «  Pour en finir avec l'alcool en Bretagne et pour parvenir à un niveau de fiscalité égal au reste du territoire national, il faut taxer les pommes.

 

 

 


Commentaires

 

1. framboise24  le 03-02-2012 à 11:32:39  (site)


bonne journee ma douce amie
gros bisous

2. geg04  le 05-02-2012 à 16:37:10  (site)

bravo ma belle pleins de merite continue c(est un plaisir de voler au dessus de ta bretagne tel le goeland a la decouverte de cette beaute
pou toi
bisousssssssssssss

*******
Les Soneriens Du, les anonymes 'Sonneurs noirs' sont sans doute les plus anciens joueurs de biniou et de bombarde (ou de cornemuse et de hautbois) encore présents dans la mémoire populaire, et un célèbre groupe musical bigouden se charge de leur rendre justice.

 
 
 
posté le 01-02-2012 à 13:08:51

Potée à la mode de Quimper

Difficulté : Très facile
Temps de préparation : 20 minutes
Temps de cuisson : 3 heures 10 minutes

Nb de personnes : 8

Ingrédients :

  • 1 beau morceau de lard ½ sel
  • plat de côtes
  • 1 saucisson fumé
  • 1 chou vert bien pommé
  • blanc de poireaux
  • carottes
  • navets
  • 1 gros oignon piqué de clous de girofle
  • pommes de terre
  • bouquet garni
  • poivre

Préparation :

  1. Pensez à dessaler le lard.
  2. Mettez les viandes dans un grand faitout et recouvrez-les d’eau froide.
  3. Portez à ébullition et faites cuire 2 heures en écumant souvent.
  4. Faites blanchir le chou.
  5. Ajoutez-le ainsi que les autres légumes (sauf les pomme de terre), le saucisson piqué à la fourchette, le bouquet garni et poivrez
  6. Laissez cuire encore 30 mn.
  7. ajoutez les pommes de terre épluchées.
  8. Poursuivez la cuisson 40 mn environ.
  9. Servez les entourées des légumes, le bouillon pouvant être servi en potage

 

 


Commentaires

 

1. Figue  le 03-02-2012 à 10:40:14  (site)

Bonjour Youmie et tous

j'aime beaucoup la potée

mais ça ne change pas des autres

potées

oui , beaucoup de recettes se confondent

de région voir même des pays

mais n'ai pas cherché d'ou vient cette recette

bonne et agréable journée à toi Yoomie

bisous

 
 
 
posté le 01-02-2012 à 10:15:16

Cécile Corbel

 Cécile Corbel est née à Pont-Croix dans le Finistère en 1980.

Elle découvre la harpe celtique à l’adolescence lors d’un concert de la harpiste grecque Elisa Vellia au Cap Sizun, et suit ensuite des cours avec cette dernière.

À 18 ans, après avoir obtenu un bac S, elle déménage à Paris pour y suivre des études.

Elle entre alors à l’École du Louvre, et y décroche un DEA en archéologie.

Elle fait ses débuts en jouant dans des pubs ou des rues de la capitale, et se produit pour la première en 2002 dans un pub, le Ti Jos.

 [Wikimedia]

 

 "La Fille Damnee"

 


 

Brian Boru (Renaissance) 2011

 

 
"En La Mar"


 


Commentaires

 

1. gegedu28  le 01-02-2012 à 14:18:50  (site)

La suite, ... on connait
Cécile est maintenant mondialement connu.
J'ai eu l'occasion d'aller à quelques uns de ses concerts, et de discuter avec elle à la fin d'un concert (C'était à Chartres, en fin 2007) lors du "Pot" d'après spectacle.
Elle est formidable !
Gérard

édité le 01-02-2012 à 14:32:55

2. framboise24  le 02-02-2012 à 08:39:51  (site)


quelle voix!!!

en plus tres belles chansons
bonne journee ma douce
gros bisous

 
 
 
posté le 31-01-2012 à 17:54:06

Rencontre avec le réalisateur de "Silent Killer"

Le 15 janvier 2004, le chalutier "le Bugaled Breizh" a coulé en 36 secondes (!) au large du cap Lizard (Angleterre). Il a coulé si vite, 3 des 5 hommes à bord n'ont même pas eu le temps de sauter du bateau!

8 ans après le naufrage du Bugaled Breizh, un réalisateur morbihannais vient d'achever le montage d'un film retraçant des années de procédure et de recherche de la vérité. Jacques Losay a composé à partir de reportage télé et d'interviews. De quoi faire avancer la réflexion sur ce qui s'est réellement passé ce jour là

Lorsque le Bugaled Breizh a sombré, les cales ont implosées (dû à la pression de l'eau).
Tous les sonars des sous-marins dans un rayon de 200 Km l'ont détectée.
Les sonars sont tellement perfectionnés qu'ils ont identifiés la forme exact de ce qui a causé le naufrage. J. Chirac et M. Alliot-Marie ont su dans l'heure que le coupable était un sous-marin, pourtant ils sont partis sur la piste d'un cargo pendant des mois et  il a fallut  une manif pour que le Bugaled soit renfloué...
Les sonars sont reliés à un enregistreur de données.
Les marines de la France, de l'Angleterre, de l'Allemagne et de Hollande n'ont toujours pas rendues publiques les positions de leurs sous-marins à 12H23 GMT (heure exacte du naufrage) le 15 janvier 2004 et elles n'ont jamais voulu révéler les données de leurs sonars.
Mais quel pays veut être montré du doigt ayant commis un délit de fuite?
Certainement pas L'Angleterre!
Alors nous autres, Européens jusque dans nos mensonges?

 

 

 


Commentaires

 

1. Hellie...  le 31-01-2012 à 20:46:30

très sensibilisée au sujet car je suis du coin, j'ai lu nombre de livres, de recueil d'enquêtes, suivi les séances au tribunal ....
tout le monde sait ...mais c'est l'omerta !

 
 
 
posté le 30-01-2012 à 18:03:55

Balade en hivers aux alentours de Concarneau

 Balade mi janvier 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 Ambre40

 

 


Commentaires

 

1. breizalain  le 31-01-2012 à 17:11:58

toujours aussi superbes les photos et les commentaires .merci pour ce site qui fait connaitre notre région et que j'adore . Alain

2. Figue  le 06-02-2012 à 22:02:12  (site)

belles photo chère Yoomie

bonne et agréable soirée à toi

bisous amicales

 
 
 
posté le 29-01-2012 à 20:16:06

CARBONADE DE BOEUF A LA BIERE BRETONNE

Pour 4 personnes

  • Préparation : 40mn
  • Cuisson : 3H

Ingrédients :

  • 800g de macreuse ou un des morceaux de l'épaule ou du collier
  • 2 oignons
  • 1 belle carotte
  • 33cl de bière de garde bretonne
  • 20g de cassonade
  • 1 filet de vinaigre de xérès
  • 1 tranche de pain d'épice
  • moutarde forte
  • 30g de beurre
  • 1 cuillère à soupe de farine
  • laurier et thym
  • sel et poivre

Préparation :

  1. Faire détailler la macreuse par le boucher en morceaux un peu plats.
  2. Les saler et poivrer.
  3. Emincer les oignons, couper la carotte en fines rondelles.
  4. Dans un faitout, faire fondre le beurre à feu moyen.
  5. Faire dorer les morceaux de viande, ajouter les oignons et la carotte, saupoudrer de farine.
  6. Faire un peu roussir le tout en remuant, mouiller avec la bière.
  7. Laisser bouillonner en remuant toujours pour lier.
  8. Ajouter le vinaigre de xérès, la cassonade, un brin de thym et une feuille de laurier, porter à ébullition.
  9. Laisser cuire 30mn.
  10. Tartiner de moutarde une tranche de pain d'épice, la mettre dans la carbonade, laisser cuire encore 1h.
  11. Si le jus de cuisson est trop épais, le détendre avec un peu d'eau.
  12. Disposer la viande dans un plat un peu creux, couvrir de rondelles de carotte et d'oignons
  13. Napper de sauce
  14. Oter le thym et le laurier
  15. Servir chaud accompagné de pommes vapeur


Bon appétit !!!!!
                                           Ambre40 IC

 

 


Commentaires

 

1. patrick33390  le 30-01-2012 à 11:42:58  (site)

Bonjour magnifique te souhaite un trés bon début de semaine bizz patrick

2. patrick33390  le 30-01-2012 à 11:43:48  (site)

Bonjour magnifique te souhaite un trés bon début de semaine bizz patrick

 
 
 
posté le 29-01-2012 à 20:05:53

Le théâtre en plein air de Kerhervy et son cimetière de bateaux

 La ville de Lanester (Morbihan) a construit en 1982, face au cimetière de bateaux, dans un méandre du Blavet, le théâtre en plein air de Kerhervy pour permettre la création du Festival de Théâtre Professionnel du Pont du Bonhomme.
Il s'y déroule aussi chaque année, le festival du théatre amateur.

 

Ce cimetière de bateaux est né avec la guerre de 1939 - 1945.

Les patrons pêcheurs des thoniers de l'île de Groix, en partant combattre pour libérer la France, n'ont pas voulu les laisser aux allemands.

Ils les ont donc cachés au fond de l'embouchure du Blavet.

A la fin de la guerre, beaucoup de ces patrons pêcheurs étaient malheureusement morts au combat, les bateaux sont restés là, à finir de mourir tranquillement.
 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Maruru56

 

 


Commentaires

 

1. framboise24  le 31-01-2012 à 08:31:10  (site)


bonne journee ma douce
gros bisous

 
 
 
posté le 27-01-2012 à 12:59:26

Le dernier teilleur de lin

 


 Il y a 20 ans encore, la culture de lin était répandue en Bretagne en particulier dans les Côtes d'Armor.
Dans ce département, on en a compté jusqu'à 130 teilleurs de lin. Rares sont maintenant les agriculteurs à le cultiver.
Aujourd'hui, il n'en reste qu'un seul, François Moullec, à Saint Laurent de Begard. Tout proche de la retraite, il raconte son histoire et nous montre comment il travaille.

Profondément implantée en Bretagne à partir du XVIème siècle, l'industrie toilière a fait la prospérité économique de la région.
L'économie locale vit durant plusieurs siècles au rythme de la production artisanale des toiles de lin par les paysans-tisserands.
Sur la bordure littorale, au favorable climat doux et humide, est cultivé un lin apprécié pour sa très bonne qualité.
Les toiles de lin produites dans le Trégor sont alors reconnues comme les meilleures de toute la Bretagne.
On peut citer notamment les « crées » qui firent la renommée du Léon au XVIIème siècle.

Après cet apogée, la toilerie bretonne traverse une période de mutations à partir du début du XIXème siècle.
Le nouveau contexte technique et économique impose une profonde restructuration de l'activité et de nombreuses toileries manuelles bretonnes sont vouées à disparaître.
Les producteurs de lin qui se maintiennent, particulièrement en pays Trégor et Goélo, ont recours à la mécanisation.

Le teillage est un savoir-faire à la rencontre de l'activité rurale et la production industrielle qui s'impose entre 1840 et 1860.
Les producteurs de lin en combinent la culture avec l'activité mécanique de teillage au sein de véritables entreprises qui font travailler parfois des centaines d'ouvriers.
On a recensé 130 entreprises de teillages vers 1860 dans la région. Le teillage hydraulique, alternative à la machine à vapeur, a rendu par ailleurs nécessaire la construction de moulins sur le Trieux ou le Léguer.

L'industrie toilière bretonne disparaît presque entièrement vers 1950. Au lendemain d'un siècle d'activité ancrée sur le territoire, les teilleurs de lin cessent progressivement leur production.
François Moulec, le dernier d'entre eux, témoigne en 1978 de ce savoir-faire original, aux marges du secteur industriel, qui illustre la profonde adaptation économique des activités des paysans du Trégor.

Pauline Jehannin - CERHIO – Université de Rennes 2
 

 

 
 

 
 
 
 


Commentaires

 

1. framboise24  le 30-01-2012 à 07:59:29  (site)


sacre travail que la culture du lin
bonne journee ma douce
gros bisous

 
 
 
posté le 27-01-2012 à 10:09:23

Alan Stivell - Son Ar Chistr


 

 


 

 
 
 
 
 


Commentaires

 

1. framboise24  le 28-01-2012 à 07:54:17  (site)


coucou ma douce
tres belle chansons
passe une bonne journee
gros bisous

2. al.gr  le 01-02-2012 à 10:12:06

si je me souviens , il a sorti son premier album dans les années 70, j'aime bien mais malheureusement je ne comprend pas le breton , par contre la musique superbe, j'aime ,continuez votre travail , votre blog et une source d'information plus qu'intéressante,
bisou, Alain

3. gegedu28  le 01-02-2012 à 14:25:57  (site)

Je confirme Alain,
le blog de Yoomie est vraiment formidable.
On ne peut que l'encourager à continuer !
Au fait Yoomie, la vidéo sur le Tuchenn Sant Mikel, tu ne veux pas la mettre sur ton blog ?
Pour ceux qui passent par içi, allez visiter mon article :
http://www.myspace.com/gegedu28/blog/445332308 , vous y trouverez également la vidéo.
Gérard

édité le 01-02-2012 à 14:30:21

 
 
 
posté le 26-01-2012 à 15:28:41

La baie de Saint-Malo

 La baie de Saint-Malo (Ile et Vilaine)

L’aspect de la baie de Saint-Malo est le résultat d’un tremblement de terre en 142 et d’un raz de marée en 709. Elle est parsemée d’iles, de récifs qui rendent la navigation difficile, deux chenaux conduisent les bateaux jusqu’au port. Il faut noter que les marées sont parmi les plus grandes d’Europe.

Parmi les nombreux récifs qui troublent la surface de la mer par pleine mer ou deviennent des chapelets de rochers par marée basse, s’imposent 4 iles : Cézembre, Harbour, Grand Bé et Petit Bé. Ces iles fortifiées au 17ème siécles par Vauban protègeaient Saint-Malo des attaques de la marine anglaise.

Ile de Cézembre
L’ile comporte une plage exposée au sud !!! Un bonheur. Elle a été un des derniers replis de l’armée allemande en 1942. Pour les déloger, les alliés ont laché 20 000 bombes. Certaines parties de l’ile et des berges sont interdites à cause des bombes non explosées qui s’y trouveraient.

Grand Bé
L’ile est aujourd’hui un énorme caillou herbu balayé par les vents. Côté est, se trouve la tombe de Chateaubriand. Comme pour les autres iles voisines, il s’y trouvait un fort construit par Vauban, une fois abandonné les pierres ont été récupérées par les malouins pour la construction de leurs maisons. Par marée basse on y accède à pied depuis les remparts.

Petit Bé
Le fort construit par Vauban est en cours de restauration par des particuliers et peut se visiter.

Harbour
L’ile de Harbour possêde Ègalement un fort construit par Vauban en cours de restauration par des particuliers. A ma connaissance, elle ne se visite pas.

Deux autres forts entourent Saint-Malo : le Fort national, encore propriété de l’Etat, situé à l’entrée du Sillon (naguère bande de sable qui reliait Saint-Malo intra-muros au continent) et le fort de la Conchée posé sur l’eau et en cours de restauration par des particuliers, il ressemble un peu au fort Boyard.

Deux phares indiquent les chenaux d’accês au port.

 Petit Bé

 

 

 
 Grand Bé

 

 

 

 
 Fort national

 


La Conchée

 

 
Cécembre 

 

 
  Harbour

 

 

 
                                     Philippez IC
 


Commentaires

 

1. framboise24  le 26-01-2012 à 16:50:05  (site)


bonne soiree ma douce
gros bisous

 
 
 
posté le 26-01-2012 à 12:53:36

Kouigns Bigoudens aux Pommes

Kouigns Bigoudens aux Pommes de Michel du Guilvinec
 
Difficulté : Très facile
Temps de préparation : 15 minutes
Temps de cuisson : 30 minutes
Nb de personnes : 8

Ingrédients :
  • 1 kg de farine
  • 600 gr de sucre
  • 7 œufs 
  • 1 litre + ¼ de lait froid ou tiédi selon la saison
  • 1 cube de levure de boulanger
  • rhum
  • cannelle
  • quelques pommes râpées

Préparation :

  1. Dans un saladier assez haut (la pâte doublera de volume), mélanger la farine et le sucre.
  2. Creuser un puits et y casser les œufs.
  3. Mélanger et verser le litre de lait.
  4. En hiver Michel recommande de tiédir le lait pour aider la pâte à kouigns à monter, en été ce ne sera pas utile.
  5. Ajouter à la préparation la levure délayée dans le ¼ de litre de lait restant.
  6.  Aromatiser à votre goût de rhum et de cannelle.
  7. Couvrir d’un torchon et laisser reposer 3 heures.
  8. Ajouter à la pâte les pommes râpées.
  9. Faire cuire les Kouigns Bigoudens sur un bilig ou dans une poêle antiadhésive, très chaude et légèrement graissée.
Commentaire :
Déguster les Kouigns aux Pommes simplement avec une lichette de beurre ½ sel, pour les gourmands avec de la crème fraîche.
 
 

 


Commentaires

 

1. Rosedesvents58  le 27-01-2012 à 22:12:04

Bonjour Douce Béa , je viens de faire cette recette , un vrai régal , tout simplement succulent ...
Merci pour ce partage .
Bisous
Rose

 
 
 
 

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